En tant qu’esprit libre et libéral, j’ai tendance, par principe, à systématiquement adopter une position de contradiction dans toutes les situations où je me sens acculée par l’État. Je suis un principe simple : la pression crée une contre-pression. Sur la question du vaccin par exemple. Car en régissant ce qui coule ou non dans nos veines, le Conseil fédéral se donne plein pouvoir. Je n’aurais pas cru cela possible il y a encore quelques mois !
Mais comme on dit, « un tango se dance à deux » : un qui fait et un qui laisse faire.
Après tout, l’exclusion de la vie sociale d’environ 40 % des citoyens suisses ne semble gêner personne, et certainement pas ceux qui, depuis peu, estiment que les droits fondamentaux doivent être acquis par la vaccination ! Ceux-là, je les remercie au passage d’ailleurs. Ou pas. Car ils semblent oublier que le vernis de la civilisation est encore mince. Et que la liberté n’est ni gratuite ni acquise.
On doit se battre pour elle, encore et encore, tous les jours ! Et plus particulièrement le 28 novembre prochain, en proclamant à l’unisson un non clair à la loi Covid !